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le blog de sam

18 août 2006

BONJOUR

La suite me parut géniale, voir idéal pour pour une nouvelle carrière.

En effet, un an après être passé réceptionnaire on me propulsa chef de centre dans une autre ville. Bien sure j'étais ravis, 6 mois à l'éssais tél était le contrat. Le piège et s'en fut un, c'est que je n'est eu aucune formation pour ce poste. Je ne connaissait quasiment rien des modalitées administratives, ni même de la gestion d' un centre. Voyant ce grand vide de connaissance devant moi, je décidais de prendre 1 semaine sur mes vacances et de me faire une petite formation moi même dans le centre pilote de la direction régionale. C'était peu, mais bon je n'avais pas le choix.

Les premiers temps tout fonctionnait à peu près bien. Mais, là où se situait le piège c'est que j'étais seul avec un seul technicien. Au début, j'avais comme chef de secteur mon ancien chef de centre avec lequel je m'entendais bien. Il m'expliquait les choses simplement et essayait de m'aider. Mais trés rapidement on me changea de chef de secteur. Un crétin, dont le QI ne devait pas dépasser la pointure de ses chaussures.
Quoique cela en coûte pour ma part, je devais atteindre tous les objectifs et faire le technicien, le chef d'atelier et le chef de centre en même temps. Je commençais à paniquer, malgré beaucoup d'objectifs rempli. Alors, évidement je demandais de l'aide, un technicien en plus avec un chef d'atelier, mais là, sa faisait beaucoup et l'on me répondit de me débrouiller seul, que d'autre était déja passé par là. Et enfin, si je n'étais pas content il suffisait de rompre le contrat puisque je n'étais qu'à l'éssaie. La préssion se faisait de plus en plus forte comme les douleurs à l'estomac.
Dans ce contrat j'étais évidement considérais comme cadre au forfait, c'est à dire, que je déclarais 8 heures de travail alors que j'en faisait 12 voir 15. Une fois, j'ai eu le malheur de dire que j'étais fatigué, et l'on me répondit que j'étais mal organisé.

C'était d'autant plus dure que je subissais de plus en plus de préssion de mon chef de secteur, jusqu'à des menaces physiques. Personnellement je l'aurais bien pris aux mots, fermer le centre et régler les problèmes entre 4 yeux. Mais voila, s'eu été la fin de mon travail que je faisait encore avec passion.

Après plusieurs mois de galère, il y eu 2 techniciens en plus. C'étais 2 jeunes que j'avais vu passé au centre pour déposer leur CV. Ayant fait un peu graphologie, j'avais déja cerné les 2 personnages, mais je n'ai pas eu le choix, il fallait faire avec et se taire. En faite, j'étais un chef de centre sans aucun contrôle sur son personnel. Tout allait, de mal en pis, ils faisaient connerie sur connerie et je ne pouvais pas sanctionner alors évidement ils ont trés vite compris qu'ils pouvaient faire ce qu'ils voulaient et même me critiquer dans mon dos au chef de secteur.
Je ne pouvais plus m'en sortir psychologiquement, pourtant les résultats furent éxeptionnelles avec une croissance qui atteignait plus de 300 % et des objectifs plus qu'atteint. C'est à partir de là, que la préssion se fit encore plus forte, car cette fois tout le monde avait peur des résultats obtenues, malgré ma déstruction programmer.

En effet, et je ne le su que plus tard, ses résultats jamais personne ne les avaient atteint et cela devenait trés embarrassant d'expliquer de tel résultat en comparaison des autres centres. Non seulement, j'étais le seul qui sortait du lot mais j'étais le seul à mettre en danger toute la hiérarchie.
Car pour faire de tél résultat, il fallait être malgré tout être un bon gestionnaire avec une vision global du marché et l'utiliser. Par conséquent, je pouvais être chef à la place du chef. De plus, il était génant d'expliquer comment une tel croissance ne coïncidait pas forcément avec une hausse significative du chiffre d'affaire de la région. Normal, puisqu'il s'agissait d'un tout petit centre.

Je n'ai eu évidement aucun remerciement, par contre encore plus de préssion. Je ne m'en sortait pas et cela devenait le serpent qui se mord la queue à chaque foi qu'il veut avancer.
Les problèmes avec les techniciens devenaient de pire en pire, je ne savais pas quoi faire. Et l'on ne me donna qu'une seul réponse: rompre le contrat de chef de centre.

Le moral était au plus bas, mais pas ma motivation, alors j'acceptais de ne plus être chef de centre à condition de passer chef d'équipe. Là, mon chef de région fut trés surpris de ma réaction et s'attendait plutôt à ce que je démissionne. Et il eu cette phrase trés étonnante:
Vous êtes trés intéligent, mais dans cette société j'ai besoin de bras et non pas de tête.
Mais il n'avait pas le choix que d'accepter. Un nouveau contrat fut signé, comme chef d'équipe. Mais dans ma tête quelque chose commençait à se rompre.

Les difficultés avec les techniciens augmentèrent surtout évidement avec celui qui voulait passer chef d'équipe et qui pensait que j'avais volé sa place. Ma motivation de passer chef d'équipe au lieu de démissionné était ma femme et mes 2 enfants. Il faut bien ramener un salaire à la maison.
Il ne s'agissait donc pas de vengeance ou d'une quelconque stupidité de ma part, c'était bien voulu mais dans un but tout à fait louables.

Quelques mois plus tard, le moral était revenu, surtout avec un technicien rebelle muté dans un autre centre et un nouveau chef de centre avec lequel je m'entendais plutôt bien.

Mais voila, lorsque vous êtes chef d'équipe vous êtes entre le marteau et l'enclume. Les résultats des objectifs baissaient considérablement. Alors moi bonne pomme, je fis encore ce qu'il ne fallait pas, j'étais encore devenu indispensable au résultat du centre. Car sans moi, aucun des objectifs n'étaient remplis. Ce qui ne tarda pas enervé le nouveau chef de centre.
C'est alors qu'évidement les grièffes allaient commencer. Si quelque chose n'allait pas c'étais tout de suite de ma faute et lorsque le chef de secteur lui faisait la remarque que lors de mon absence plus rien n'allait, la discussion tournait sur mon comportement soit disant autoritaire et mon manque d'organisation. Les loups ne se mangeant entre eux, je fut vite repris en main par le chef de secteur qui n'avait pas changer ses méthodes de management.

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15 août 2006

BONJOUR

BONJOUR

Tout nouveau, tout neuf. Mes émotions tèls que mes sentiments ou mes colères seront mes sujets favoris mais encore la phylo.

Aujourd'hui j'ai envie de tergiverser sur le travail en général.

POURQUOI LE TALENT SUCITE T IL LA JALOUSIE?

Le talent fait peur en FRANCE, tandis qu'au ETATS UNIS il est envié.

En FRANCE, les sociétés ou les chefs quelqu'il soit ont peur pour leur place. En effet, une personne au talent multiple pourrrait demandé à gravir les échelons. Quoi de plus normal. Mais se n'ait pas une obligation, on a peut être envie tout simplement de faire partager son savoir sans pour cela prendre la place de quelqu'un.

Peut être est ce une idée, mais je pense qu'aux ETATS UNIS mes talents  auraient été utilisés à des fins beaucoup plus rentable. BUSINESS IS BUSINESS (il doit y avoir des fautes mais je parle trés mal l'englais), pourquoi ne pas utiliser une personne dans ses meilleurs compétences, en les développant s'il le faut ou en les optimisants, afin de développer l'entreprise et ainsi lui offrir de nouvelle ressource.

Prenons mon cas:

J'ai commencé dans une société, dont je thérais le nom, il y a 4 ans déjà, comme simple technicien dans le secteur automobile. Cette société multinational offrait à mes yeux un merveilleux début de carrière car j'avais enfin obtenu un CDI. De plus, ses plans d'apprentissage sont parfaitement rodé et pour quelqu'un comme mois qui n'était capable de reconnaître qu'une deux chevaux et une 4L , c'était merveilleux.

Dés le départ je me suis investit dans une passion dévorante: la soif d'apprendre et non de dominer.je ne comptait pas les heures de travailles acharnés commençant trés tôt le matin avec le chef d'équipe afin de l'aider dans sa tâche du rangement des stocks. Le soir, je finissait trés tard bien après la fermeture toujours dans le même but d'aider et d'apprendre.

Puis, en 6 mois j'avais appris grace à mes compétences antérieures à vendre les produits additionnels aux clients. En 1 an, j'avais vendu plus de produit que n'importe qui dans toute la société mondial avec un chiffre approximatif de 500 000 fr à l'époque, uniquement en produit additionnel.

Au bout d'un an, mes talents n'était plus à prouvé. Ils me mirent réceptionnaire. Ce travail consistait à réceptionner les clients et à leur vendre le plus de produit possible. La encore mes heures n'étaient pas comptées , ni rémunéré et je ne touchais aucun pourcentage sur les ventes.Bref, le chiffre d'affaire du centre avait considérablement augmenté. Mais c'est à partir de ce moment que la jalousie et l'envie firent leur apparition. Car, malgrés, les charges suplémentaires que l'on m'avait attribué et que j'avais accepté avec joie, devenait plus importante et avait un regard direct sur les résultats du centre.

Le chef m'avait donné la responsabilité de l'atteinte des différents objectifs du centre, ainsi que le chiffre d'affaire. Là encore, j'ai été utilisé dans toutes mes compétences sans rien demander en retour. Les différents fleurons sont allés au chef de centre et au chef d'équipe. Et si pour ma part, on parlait de moi avec respect et courtoisie à la direction régionale, je n'avais tourjours rien.

la suite au prochaine épisode. Il faut quand même que je dorme un peux. MERCI!!!tchao

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